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mercredi 30 septembre 2009

Passer du Levothyrox à Euthyral ou ajouter du Cynomel au Levothyrox.

Il arrive que l'on soit sous Levothyrox et que pour raison de problème de conversion ou mauvaise assimilation du Levothyrox, on change le traitement en le remplaçant par Euthyral ou en introduisant du Cynomel associé au Levothyrox.

Cela ne se fait pas forcément tout seul et sans problème.
Il est nécessaire de respecter quelques règles pour procéder au changement sans aucun risque. Il ne faut pas oublier que la T3 est une hormone très active et donc l'introduire d'un coup, sans aucune précaution particulière, peut entraîner bien des troubles très désagréables, mais aussi dangereux pour par exemple le cœur.
Raison qui bien souvent d'ailleurs fait dire aux médecins que "la T3 c'est dangereux". Or c'est faux bien entendu surtout si on respecte bien les règles.

Levothyrox vers Euthyral.
Le Levothyrox comme on le sait ne contient que de la T4.
L'Euthyral lui contient 100 µg de T4 pour 20 µg de T3.
On compte globalement 5 µg de T3 équivaut à 25 µg de T4.
Donc si on veut introduire 5 µg de T3, il faut au moins enlever 25 de T4.
Ce qui est un peu compliqué c'est qu'il ne faut pas oublier le principe de la 1/2 vie de la T4.
Voir le processus : La 1/2 vie d'un médicament.
Une fois que l'on a bien ce processus en tête, on comprend mieux pourquoi il faut agir de cette façon et pourquoi on a tel ou tel dosage et pas le dosage en fonction de ce que l'on a enlevé ou ajouté, de semaine en semaine. Mais cela dit le principal est d'avoir en fin de parcourt, le traitement et surtout le dosage approprié.

C'est d'ailleurs à cause de cette subtilité que les médecins prescrivent mal le traitement et procèdent très mal lors du changement de traitement.
En effet certains disent 100 µg de Levothyrox = 1 comprimé d'Euthyral. En fait ils se basent sur la T4, mais ils oublient qu'il y a la T3, qui elle est 5 fois plus active que la T4. D'où le fait que bien des patients ressentent alors des symptômes d'hyperthyroïdie très importants.
En procédant comme je l'explique cela permet d'y aller vraiment en douceur et donc de ne surtout pas prendre de risques surtout avec le cœur.
C'est plus long, mais tellement plus sûr et surtout on ne traumatise pas l'organisme.

Prenons le cas d'une personne qui est sous traitement Levothyrox 100 µg.
Il faut d'abord débuter par une diminution du Levothyrox pendant 1 semaine maximum, de 50 µg.
Pour rappel lorsqu'on diminue le traitement, à la fin de la première semaine on a - 50% du dosage enlevé dans le sang, Donc soit ici, il nous reste 75 µg de T4 à la fin de la semaine.
Comme on a bien 25 µg de T4 en moins, on peut introduire les 5 µg de T3 sans risque et ce même si en même temps que la T3 on remet 25 de T4. Voir la première remarque.
Mais surtout il faut retenir que la 1/2 vie de la T3 est elle de seulement 24 heures. Donc la T3 agit de suite.

On introduit la deuxième semaine : 1/4 d'Euthyral soit 25 µg de T4 et 5 µg de T3 + bien entendu le Levothyrox mais on le diminue de encore 25 µg.
Donc la T4 d'Euthyral va à la fin de la semaine prendre le relais des 25 supprimés en première semaine.
On aura donc à la fin de la 2ème semaine approximativement 75 µg de T4 + 5 de T3 qui vont compenser la diminution de la T4.
C'est approximatif bien entendu car on peut aussi tenir compte que la deuxième semaine le Levothyrox diminué perd encore 50 % de ce qui restait la première semaine mais aussi il a perdu 50 % de la diminution de la semaine 2. Mais on va pas compliquer plus les choses sauf pour ceux qui veulent, voir la remarque 1.

Remarque 1 : Pour ceux qui veulent vraiment comprendre comment cela fonctionne exactement.
A ce moment-ci une petite précision un peu complexe s'impose et le principe de la 1/2 vie doit être maîtrisé afin de bien comprendre.
Les 50 µg de Levothyrox supprimés au départ continuent d'être éliminés de l'organisme.
On ajoute en 2ème semaine 25 µg de T4 par Euthyral mais qui va s'ajouter à l'organisme sous le principe de la 1/2 vie.
Donc ce qui permet que petit à petit et si on continuait avec ce dosage pendant les 6 semaines nécessaires , on irait vers les 50 µg de T4 par le Levothyrox + les 25 apportés par Euthyral.
Mais bien entendu on n'attend pas les 6 semaines, puis recommencer depuis le début en modifiant à nouveau les dosages.
On prend un raccourcis en deuxième semaine, on prépare la 3ème !

Donc on diminue de moitié le dosage initial de Levothyrox pendant une semaine.
On introduit, en deuxième semaine 1/4 d'Euthyral + encore le Levothyrox mais diminué encore de 25 µg afin de préparer l'introduction d'1/4 supplémentaire d'Euthyral en 3ème semaine.
Et on procède de la même façon jusqu'à' ce qu'on ait complètement remplacé le Levothyrox par l'Euthyral.
En résumé :
Semaine 1 : on diminue de 50 le Levothyrox
Semaine 2 : on diminue encore de 25 le Levothyrox + 1/4 d'Euthyral.
Semaine 3 : 25 de Levothyrox + 1/2 Euthyral
Semaine 4 : 0 Levothyrox + 3/4 d'Euthyral.
Ce qui permet d'avoir 75 µg de T4 + 15 µg de T3.
Attention : la T4 ne sera stabilisée à 75 µg de façon certaine que dans un délai de 6 semaines après la dernière modification du dosage. Donc en tenir compte si vous faites un contrôle sanguin avant ce délai. Car la T4 pourrait alors être un peu trop élevée par rapport aux besoins réels, mais si on tient bien compte de la 1/2 vie, il n'y a donc pas de problème. Dans ce cas attendre de voir le contrôle suivant.
On arrive ainsi à un dosage de 3/4 d'Euthyral qui normalement doit être suffisant pour quelqu'un qui avait un dosage de 100 µg de Levothyrox.
Cela dit, il se peut même que 1/2 comprimé d'Euthyral soit suffisant car la T3 apportée compense largement.
Car comme dit plus haut : 5 µg de T3 équivaut à 25 µg de T4. Et que quand on a de la T4 directement, il n'est plus nécessaire d'avoir beaucoup de T4 puisque l'organisme la convertit en T3 en fonction des besoins. Si les besoins sont fournis directement par le traitement, le dosage de la T4 peut donc être moindre, mais toujours nécessaire. Sans quoi la TSH pourrait s'élever.
Avec Euthyral, les deux dosages se règlent automatiquement.
Ce qui peut d'ailleurs être un problème. En effet, si on veut augmenter ou diminuer un, l'autre suit automatiquement le même mouvement. Sauf si on veut augmenter juste la T4, on peut alors le faire par le biais d'un ajout de Levothyrox.

On voit ici pourquoi bien souvent lorsque les médecins modifient le traitement et passent donc du Levothyrox a Euthyral bien des erreurs sont commises. Et le patient qui se sent mal avec l'apport de la T3, fait dire au médecin fièrement : "voilà pourquoi je n'aime pas prescrire la T3, c'est dangereux".
Mais en procédant de cette façon on évite ces symptômes.
On peut cela dit aller encore bien plus doucement, c'est aussi à prendre en considération pour les personnes qui seraient très sensibles aux hormones qu'il s'agisse de la T4 ou encore plus de la T3.

REMARQUE 2 :
Si nécessaire Euthyral peut être prit en plusieurs fois. Cela permet d'avoir un apport de T3 en plusieurs fois.
La T3 en effet est très vite détériorée. Elle a, elle, une 1/2 vie de 24 heures.
En la prenant en plusieurs fois, cela permet de ne pas être super "boosté" la première partie de la journée et se retrouver complètement KO l'autre partie.

Vous pouvez prendre 1/2 comprimé le matin et 1/2 vers 13 heures en veillant là de ne pas avoir mangé dans les deux heures qui précèdent et attendre un peu avant de manger. Si vos horaires vous le permettent bien entendu.
Il faut respecter surtout cela pour la T4. La T3 est en général elle bien assimilée.

*****************************************

Le Levothyrox associé au Cynomel.


On reprend ici le même principe de 5 µg de T3 = 25 µg de T4.
Le Cynomel ne contient lui que de la T3.
Mais attention son dosage est plus important. Soit 1 comprimé = 25 µg de T3.

Le cas d'une personne sous 100 µg de Levothyrox.
On diminue de moitié le Levothyrox pendant la première semaine.
Semaine 2 on introduit 1/4 de Cynomel le matin en même temps que le Levothyrox.
Semaine 3 : en fonction du ressentit, on peut introduire 1/4 supplémentaire de Cynomel vers 13H en respectant la règle de ne pas manger dans les heures qui précèdent et ne pas manger dans les 30 minutes qui suivent. Si possible bien entendu. A voir en fonction de vos horaires.

Au bout de 15 jours, on a alors 62,5 de T4 et 12,5 de T3.
On peut alors continuer ce dosage et attendre un mois avant de faire un bilan. Ensuite on ajuste et la T4 et la T3 en fonction des résultats.

Attention cependant, la T3 ainsi prise directement peut empêcher que l'organisme n'utilise les T4 pour les convertir en T3.
Donc si vous constatez que le taux de T4 est assez haut alors que le taux de T3 est suffisant, il convient de diminuer un peu la T3 et de conserver la T4 afin que l'organisme puisse faire son travail normalement.
Sauf bien entendu si vous êtes dans le cas, d'un problème de conversion. Dans ce cas d'ailleurs on peut même limiter le dosage du Levothyrox puisque la T4 est moins nécessaire du coup.
Mais il en faut toujours un minimum. Donc le Levothyrox doit toujours être prit soit un dosage de 25 ou de 50 en fonction bien entendu des résultats sanguins.

Lorsque l'on doit augmenter le dosage de la T3, on augmente en priorité le dosage du matin.
Si on doit encore augmenter, on augmente ensuite le dosage de midi.
On peut aussi si nécessaire et en fonction des besoins, introduire un dosage de 1/4 de Cynomel vers 16 ou 17H00.
Attention, là bien entendu il est nécessaire de contrôler si des insomnies ne surviennent pas à la suite.
Si c'est le cas, décalez les prises de midi et de l'après-midi en les avançant d'une heure par exemple.
Vous verrez si cela vous convient ou pas.
Si oui continuez ainsi.
Si pas alors éviter la prise de l'après-midi. Ou alors autre petite solution : ne prendre qu'une partie d'1/4 de cp. Cela peut être suffisant pour vous donner le petit plus nécessaire. C'est ennuyeux certes mais parfois bien nécessaire.


REMARQUE GENERALE pour les deux traitements.

Il faudrait que les deux laboratoires pensent à modifier leur dosage de comprimé.
Soit pour Euthyral avoir des comprimés de :
25 de T4 + 5 de T3
50 de T4 + 10 de T3
75 e T4 + 15 de T3
Ce qui permettrait vraiment de pouvoir ajuster très précisément le dosage de la T4 mais aussi surtout de la T3.

Pour le Cynomel un dosage de comprimé à 5 µg serait l'idéal pour faire les ajustements très précis.

J'ai soumis la question chez Merk, aucune réponse de leur part. Ce qui est curieux car d'habitude ils répondent facilement. Pourtant ils y gagneraient car ainsi les dosages étant moins importants, les médecins seraient moins frileux à prescrie ce traitement et donc ils en vendraient plus. Et nous on irait beaucoup mieux.
Chez Aventis je n'ai pas fait de demande.

ATTENTION : la prise de T3 peut rendre la TSH complètement nulle.
En effet la prise de T3 directement fait chuter la TSH.
Donc il est absolument IMPÉRATIF de faire analyser les hormones T3 et T4 lors des contrôles sanguins. Ne laissez pas votre médecin ne vous prescrire que la TSH.
Elle n'est déjà pas suffisante en temps ordinaire, elle l'est encore moins avec la prise de T3 dans un traitement.

mercredi 2 septembre 2009

La gripe H1N1, le vaccin : le faire ou pas ? Et les maladies de la thyroïde......

Modifié le 8/09/2009

Faire ou pas le vaccin ?
Mais la question est aussi : faut-il vraiment avoir peur de la grippe H1N1 plutôt que de la grippe saisonnière ?????????

Faire le vaccin risque de causer des problèmes si vous avez une maladie auto-immune et ce quelle qu'elle soit.
La question se pose également dans le cas de tous les autres vaccins.

Pourquoi ? Parce que votre système immunitaire est déficient et vous rend malade.
Un vaccin c'est l'inoculation d'un virus pour que votre système immunitaire y réagisse et ainsi puisse le combattre.
Mais comme le système immunitaire fait n'importe quoi, qui vous dit qu'il ne fera pas ami-ami avec le virus au lieu de le combattre ?
Rien et même surtout la réponse est que cela risque d'être bien le cas.
Exemple : parfois, il est nécessaire d'avoir des traitements plus importants pour pouvoir traiter une simple angine. Là où un simple antibiotique suffirait et à faible dose et juste 48 heures, il peut falloir un traitement plus important et surtout un dosage plus costaud. La durée du traitement peut aussi devoir être rallongée, pour les personnes qui sont atteintes d'une maladie auto-immune.

Remarque : Mais il y aussi le fait que certains des adjuvants utilisés dans les vaccins sont eux-mêmes souvent à l'origine de plusieurs maladies auto-immunes.

Pour le moment, on entend dire "attention il faudra faire ceci et ça et pas ceci ou pas ça".
Bref on nous dit qu'on va tous être malade et tous mourir à les entendre...............
A noter que c'était déjà le cas avec la maladie de Creuzvelt Jacob, avec la grippe aviaire !!!! Tiens on est encore là pourtant.

Pire : dans les recommandations actuelles, on vous dit d'éternuer dans votre manche, si vous n'avez pas de mouchoir à disposition.
Euh oui d'accord mais le copain qui arrive 5 minutes plus tard et qui dit "alors comment vas-tu" et ceci tout en vous frottant le bras en guise de geste amical...........
Ne pas oublier de l'avertir que vous venez d'éternuer dans votre manche et que donc il vaut mieux pour lui d'aller très vite se laver les mains.

Dans les recommandations pour les écoles, il est dit de faire en sorte de tenir une distance minimale de 1 m entre les tables des élèves.
Mais aucune recommandation quant à l'aération de la salle de classe.
Or un virus confiné, a plus de "chances" de se propager que si on aère.

Pour vous aider à prendre la décision et surtout en savoir un plus au-delà de tous les blablas qu'on entend toute la journée au sujet de ce virus, voici une vision différente de ce qui se passe et de ce qui peut se passer.
Les infirmiers et infirmières sont le personnel qui sera le plus mit en avant au cas où la maladie serait vraiment répandue.
Donc connaître leur point de vue, leur position face au vaccin est très instructif.

A savoir des indications sur la maladie elle-même que bien des médias ne précisent pas, comme :
Le virus H5N1, responsable de la grippe aviaire, possédait une virulence très élevée (le taux de mortalité a atteint 60 %) couplée à une contagiosité chez les humains très faible (quelques milliers de cas sur l’ensemble de la planète). Le H1N1 est pratiquement l’inverse : il est très contagieux mais faiblement agressif : en France, 2 décès de malades atteints de maladies chroniques graves et porteurs du virus A (H1N1), et 11 cas graves contre environ 2.000 morts français de la grippe saisonnière par an !
Source
Le vaccin pourrait faire bien plus de dégâts...........

Lire aussi :

Vaccination H1N1 : les infirmières font "bouger les lignes" !

Dont :
Sachant qu’il pourrait exister "un risque théorique" que les adjuvants puissent provoquer l’apparition de maladies auto-immunes, le CTV souhaiterait que certaines personnes puissent bénéficier de vaccins contre la grippe A(H1N1) sans adjuvant, note le Pr Daniel Floret, président du CTV. Ces personnes sont les nourrissons -au système immunitaire immature-, les femmes enceintes, qui ont un système immunitaire modifié, et les patients souffrant de pathologies auto-immunes.
Ce qui confirme bien les craintes dont je parle au début.

Remarque :

La grippe hivernale fait chaque années des millions de malades en France.
1000 à 7000 personnes décèdent de cette grippe hivernale et pourtant on n'en parle pas.

15% de la population mondiale touchée chaque année et 500 000 décès liés directement à la grippe saisonnière.

Lire : La grippe saisonnière tue !
La grippe saisonnière entraîne entre 57 692 et 96 153 cas par semaine dans le monde. Or en une semaine, on compte seulement 148 cas confirmés et 3 116 cas “possibles” de la grippe A(H1N1) dans le monde.
La grippe saisonnière entraîne entre 4 800 et 9 615 morts par semaine dans le monde. Or en une semaine, on compte seulement 8 morts confirmés et 176 morts “probables” de la grippe A(H1N1) dans le monde.

Lire : La grippe saisonnière
Loin d'être anodin, le virus de la grippe est responsable chaque année en France de plusieurs milliers de décès.
Source : sécurité sociale (Ameli).

Une personne m'a fait la réflexion que le vaccin serait obligatoire, un bruit qui serait entrain de courir sur le net.

La réponse est : NON.
Il n'y a AUCUNE obligation du vaccin.

Tout comme pour le vaccin pour la grippe saisonnière, il n'y a aucune obligation pour ce vaccin et comme tout autre vaccin d'ailleurs.

« Aucun acte médical ni aucun traitement ne peut être pratiqué sans le consentement libre et éclairé de la personne et ce consentement peut être retiré à tout moment.

Voir le lien du JO (journal officiel) : http://www.droit.org/jo/20020305/MESX0100092L.html

De même dans le code de Déontologie que l'on peut trouver sur le site de l'Ordre des Médecins, l'article 36 stipule :

La loi du 4 mars 2002 précise à cet égard « aucun acte médical ni aucun traitement ne peut être pratiqué sans le consentement libre et éclairé de la personne et ce consentement peut être retiré à tout moment »
Source : http://www.conseil-national.medecin.fr/ … p;offset=4

Et pour le moment nous n'avons aucune information claire, sure, fiable sur ce vaccin qui n'est même pas encore testé et surtout nous n'avons AUCUN recul sur les suites qu'il pourrait entraîner.
Le vaccin n'a pas encore reçu son AMM = Autorisation de Mise sur le Marché.
Mais curieusement on affirme que CE vaccin sera disponible dès la mi-octobre.
C'est tout de même un comble.
On ne sait pas si il est fiable, mais en fait, officieusement, il a déjà reçu son AMM. A b e r r a n t !!!

Même dans la déclaration des droits de l'homme, la vaccination ne peut être obligatoire puisqu'elle serait alors contraire à la liberté de choix.

Voir également sur le site du Ministère de la santé afin de trouver des précisions sur le déroulement des opérations prévues :

>', 'T')">Circulaire du 21 août 2009 « Planification logistique d’une campagne de vaccination contre le nouveau virus A (H1N1) »

En page deux, il est dit : "Cette vaccination pourrait être offerte.....


Des responsables dénoncent que ce sont les laboratoires pharmaceutiques qui ont fait pression sur les dirigeants de l'OMS afin d'augmenter le niveau d'alerte de la pandémie.


Lien intéressant pour en savoir plus sur les vaccins et leurs risques : Faits historiques sur les dangers (et échecs) des vaccins




Résultats du sondage effectuer pendant le mois d'octobre.

Pensez-vous vous faire vacciner contre la grippe H1N1 ?

Oui sans aucun problème.
18 (5%)
Oui mais je ne suis pas rassuré(e).
12 (3%)
Non.
137 (39%)
Non pas question.
181 (52%)

Nombre de votes jusqu'à présent : 348
Sondage terminé

mercredi 20 mai 2009

Réponses à quelques questions fréquemment posées.

Cet article pourra faire l'objet de suppléments régulièrement.

Dans l'article Petit cours d'endocrinologie, vous trouvez le fonctionnement général des pathologies thyroïdiennes mais comme je l'ai précisé aussi, il existe des variantes. Ici nous allons rapidement voir ces variantes comment elles s'observent, à quoi elles correspondent et comment les traiter.
Mais à chaque fois nous verrons aussi pourquoi il est utile de faire analyser : TSH, T3L, T4L ainsi que les anticorps et les 3 soit : antithyropéroxydase dit anti TPO, antithyroglobuline dit anti TG et antirécepteurs de la TSH dit anti TRAK.

Nous les verrons comme suit :
  1. problème de conversion.
  2. problème hypophyse associé au problème d'anticorps bloquants non stimulants.
  3. Hashimoto et l'iode.
  4. la grossesse.
  5. les anticorps anti-thyroglobuline et antithyropéroxydase.

mardi 7 avril 2009

La T3 en traitement de la sclérose en plaque ????!!!!!!!!

Eh oui vous ne rêvez pas !!

Le CNRS publie cet article :
Biologie

Une hormone contre la sclérose en plaques

Une équipe menée par un chercheur CNRS vient de découvrir, chez la souris, une nouvelle voie pour lutter contre la sclérose en plaques. Leur arme : une molécule naturellement produite par notre corps.

Suffira-t-il un jour d'injecter une substance fabriquée naturellement par la thyroïde, l'hormone T3 ou « triidothyronine », pour ralentir la redoutable sclérose en plaques, cette maladie incurable à ce jour qui ne touche pas moins de 80 000 personnes en France ? Voilà ce que laisse espérer une étude majeure réalisée par Said Ghandour et ses collègues du Laboratoire d'imagerie et de neurosciences cognitives1, publiée en décembre dans la revue The Journal of Neuroscience2.




Pouvant se manifester notamment par des troubles de la marche et une grande fatigue, la sclérose en plaques (SEP) est liée entre autres à la destruction progressive de la myéline, cette substance qui « gaine » les fibres nerveuses du cerveau et de la moelle épinière, et permet ainsi la bonne transmission de l'influx nerveux. Autant dire que la réparation de ces gaines est considérée comme un objectif majeur de la recherche : elle pourrait permettre de ralentir, voire de prévenir la maladie. Or justement, les travaux de Said Ghandour et de ses collègues montrent qu'il est possible d'induire la « remyélinisation » grâce à l'administration de l'hormone T3. « En fait, on savait déjà depuis le début des années 1980 que lors du développement du cerveau chez l'embryon et au cours de la période postnatale, la T3 est nécessaire pour la maturation des cellules nerveuses et la formation de la myéline ; mais personne n'avait montré qu'elle rendait aussi possible la remyélinisation dans un cerveau adulte déficient en myéline ! », précise le biologiste. Qui enchaîne : « Représentant un travail de deux ans financé par l'Association européenne contre les leucodystrophies (ELA), notre étude indique que la T3 stimule la capacité d'autoréparation du cerveau. » Pour arriver à ce résultat, le chercheur CNRS et ses collègues ont injecté la T3 à des souris souffrant d'une forme de la SEP. Et ce, quotidiennement, pendant trois semaines. Puis, ils ont analysé le cerveau des souris via notamment une technologie d'IRM, dite « IRM du tenseur de diffusion », technique qui permet d'observer très précisément la régénération de la myéline au niveau des fibres nerveuses. Au final, « nos travaux ont révélé qu'une injection quotidienne de T3 pendant trois semaines induit une réparation spectaculaire et complète de la gaine de myéline en douze semaines », indique Said Ghandour. Comment ? Les chercheurs ont montré que l'hormone T3 entraîne la transformation de cellules souches cérébrales en des cellules bien particulières – les « oligodendrocytes » – capables de produire de la myéline. Cette dernière permettant ensuite de « réparer » les lésions propres à la SEP. Prometteur, ce résultat n'est pour l'heure pas transposable chez l'homme, chez qui une surdose de T3 entraîne habituellement plusieurs effets secondaires importants. Mais les chercheurs pourraient se diriger vers la mise au point d'une molécule synthétique analogue, c'est-à-dire ayant les mêmes effets que la T3 mais sans ces effets indésirables.
Kheira Bettayeb
Le site est lent à charger.

De quoi bien comprendre aussi pourquoi nous sommes plusieurs à avoir autant mal dans les membres alors que nous sommes en hypothyroïdie.

Espérons que cette découverte, permette de mettre en avant, la nécessité et l'importance de la T3 et donc que enfin nos analyses de sang seront cette fois complétées systématiquement de l'analyse de la T3. Mais il ne faudra pas non oublier d'analyser la T3 reverse puisqu'elle joue un rôle aussi très important.

Donc en fait une maladie aussi importante que la SEP peut nous permettre nous hypothyroïdiens d'avoir enfin les analyses et les soins adéquats.

Mais une question se pose aussi du coup : nos douleurs dues à l'hypothyroïdie, ne sont-elles pas une SEP ?

Et une seule chose à espérer maintenant : c'est que très vite ils vérifient et adaptent cette solution à l'être humain.

Ceci est donc un point supplémentaire à mettre en avant en cas de discussion avec votre médecin qui nie la nécessité et l'utilité des T3.

Pour en discuter, voir forums de la catégorie : Discussions générales

lundi 16 mars 2009

Le Lyrica et d'autres traitements sur la sellette !!

Depuis que je suis contre ce type de traitement, encore une preuve (et quelle preuve !!), que malheureusement j'avais raison de dénoncer ces traitements depuis toujours, de mettre en garde contre les dangers qu'ils représentent.
On nous trompe en permanence.

Lire :
Vaste fraude, essais truqués d'un influent chercheur: Lyrica, Effexor concernés
PsychoMédia - Publié le 14 mars 2009

Une fraude, parmi les plus importantes dans le monde de la recherche médicale, a récemment été mise à jour aux États-Unis. Un chercheur très productif et parmi les plus influents en anesthésie a avoué avoir fraudé au moins 21 essais cliniques de médicaments destinés aux anesthésies et au traitement de la douleur.

Le chercheur, le Dr. Scott S. Reuben, un anesthésiste qui pratiquait au Baystate Medical Center (Springfield, Masschusetts), n'aurait jamais mené les essais cliniques à la base de 21 articles scientifiques, selon un porte-parole pour Baystate Health. Il aurait inventé les données de ces articles et forgé de faux documents.

http://www.psychomedia.qc.ca/pn/modules … p;sid=6704

Voir l'article complet : Fraude monstrueuse ! Le lyrica en cause. De quoi nous donner raison.



Ce que tout bon médecin devrait se rappeler !

Pourquoi ce blog ?

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Valenciennes, Nord, France
Il y a 3 ans, j'ai découvert une chanteuse japonaise "Superfly" qui interprétait le thème du jeu Tales of zestiria : White light. Je me suis alors aussi intéressée à une autre chanteuse Sayuri Sugawara qui elle interprète le thème de Final Fantasy XIII : Kimi ga iru kara. Je vous propose de les découvrir toutes les deux sur le blog : Chansons japonaises à l'adresse : https://chansonsjaponaises.blogspot.com/

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