La France est le premier pays consommateur des anti-dépresseurs.
Et quand on parle consommation le mot est réellement correct.
En effet, l'utilisation des anti-dépresseurs est un grand bluf commercial avant tout.
Aucune étude vraiment sérieuse sur leur efficacité n'a été faite avant qu'ils n'obtiennent l'autorisation de mise sur le marché.
Un livre dénonce : La grande intoxication (Le Cherche Midi), ces traitements qui ne sont en fait qu'une bonne manne financière, puisque les AD représentaient un chiffre d'affaire de 640 millions de dollars en 1986 et actuellement 15 milliards.
Il a suffit qu'une seule mollécule montre un résultat positif en opposition d'un placebo, pour que le produit soit autorisé sur le marché.
Un article du journal LE POINT :
Ce qui n'empèche malheureusement pas, le monde médical de ne voir que par les anti-dépresseurs, pour traiter toutes sortes de symptômes et de maladies.
Les malades de la thyroïde qu'ils soient en hyperthyroïdie ou en hypothyroïdie sont bien placés pour le savoir, puisqu'une étude a démontré que 42 % des personnes sous anti-dépresseurs, sont des malades de la thyroïde qui s'ignorent ou qui plutôt sont ignorés du monde médical.
Les fibromyalgiques sont aussi souvent réduits à être traités avec ce type de traitement, puisque dans la fibromyalgie, les analyses montrent que ce qui fait souvent défaut c'est la sérotonine, et les AD sont des inhibiteurs de la recapture de la sérotonine (ISRS).
Aucune des deux maladies ne trouvent cependant de soulagement réel avec ce type de traitement, mais pourtant, l'intoxication continue.
Le Point va plus loin dans son explication :
Il y a aussi discussion quand à l'efficacité face au suicide.
En effet des personnes sous AD se suicident-elles moins ?
Là la réponse n'est pas comme, on pourrait le penser ou, mais plutôt NON.
Pour en savoir plus, lire l'article en entier du journal LE POINT. Mais aussi lire l'article qui suit : "Ces médicaments sont des béquiles"
Les malades de la thyroïde et la dépression.
Problèmes thyroïdienes et traitement de la dépression.
A lire aussi, les dégâts de la Ritaline.
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Compléments d'informations du 8 décembre 2007.
Et quand on parle consommation le mot est réellement correct.
En effet, l'utilisation des anti-dépresseurs est un grand bluf commercial avant tout.
Aucune étude vraiment sérieuse sur leur efficacité n'a été faite avant qu'ils n'obtiennent l'autorisation de mise sur le marché.
Un livre dénonce : La grande intoxication (Le Cherche Midi), ces traitements qui ne sont en fait qu'une bonne manne financière, puisque les AD représentaient un chiffre d'affaire de 640 millions de dollars en 1986 et actuellement 15 milliards.
Il a suffit qu'une seule mollécule montre un résultat positif en opposition d'un placebo, pour que le produit soit autorisé sur le marché.
Un article du journal LE POINT :
Les biais, astuces et omissions mis en oeuvre par les laboratoires sont légion. Jamais, d'abord, les tests ne sont effectués sur des malades hospitalisés, autrement dit sur les cas les plus graves, ceux sur lesquels le verdict ne laisse pas place au doute. Pour les dépressions légères et modérées, « les deux indications dans lesquelles le Prozac est le plus souvent prescrit, aujourd'hui, en médecine générale », constate Guy Hugnet, les résultats s'échelonnent entre nuls et peu convaincants.
Ce qui n'empèche malheureusement pas, le monde médical de ne voir que par les anti-dépresseurs, pour traiter toutes sortes de symptômes et de maladies.
Les malades de la thyroïde qu'ils soient en hyperthyroïdie ou en hypothyroïdie sont bien placés pour le savoir, puisqu'une étude a démontré que 42 % des personnes sous anti-dépresseurs, sont des malades de la thyroïde qui s'ignorent ou qui plutôt sont ignorés du monde médical.
Les fibromyalgiques sont aussi souvent réduits à être traités avec ce type de traitement, puisque dans la fibromyalgie, les analyses montrent que ce qui fait souvent défaut c'est la sérotonine, et les AD sont des inhibiteurs de la recapture de la sérotonine (ISRS).
Aucune des deux maladies ne trouvent cependant de soulagement réel avec ce type de traitement, mais pourtant, l'intoxication continue.
Le Point va plus loin dans son explication :
Encore les études - déjà peu convaincantes - retrouvées dans les archives de la FDA ne sont-elles que les plus favorables au Prozac. Car les fabricants ne rendent publics que les résultats qui flattent leurs produits. Dans un numéro hors série (1) consacré aux « pilules du bonheur », La Recherche reproduit la synthèse d'une enquête menée sur cinq ISRS. Les études montrent une efficacité supérieure au placebo dans 18 à 25 % des cas. Mais, si l'on se réfère à l'ensemble des essais effectués, et pas seulement à ceux qui ont donné lieu à publications, la supériorité n'est plus que de 5 à 20 % selon le médicament.
Il y a aussi discussion quand à l'efficacité face au suicide.
En effet des personnes sous AD se suicident-elles moins ?
Là la réponse n'est pas comme, on pourrait le penser ou, mais plutôt NON.
Guy Hugnet s'est notamment intéressé au pire de ces effets : le suicide. Est-il lié à la maladie elle-même ou au médicament ? Les fabricants ont tenté l'impossible pour incriminer la maladie et disculper du même coup leurs molécules. Mais, dans un message envoyé à sa maison mère, le 13 novembre 1990, le responsable de Lilly Allemagne explique qu'il lui a été demandé de remplacer « tentative de suicide » par « overdose » et « idées suicidaires » par « dépression » dans les observations réalisées lors des essais cliniques sur le Prozac
et aussi
Plusieurs cas de tentative de suicide sont considérés comme « assurément » provoqués par le médicament
Pour en savoir plus, lire l'article en entier du journal LE POINT. Mais aussi lire l'article qui suit : "Ces médicaments sont des béquiles"
Les malades de la thyroïde et la dépression.
Problèmes thyroïdienes et traitement de la dépression.
A lire aussi, les dégâts de la Ritaline.
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Compléments d'informations du 8 décembre 2007.
Les anti-dépresseurs encore mit en cause. Cette fois les enfants.
C'est courant maintenant d'avoir des études de ce type qui montrent la nocivité de ce qui est sensé nous aider à aller mieux.
Je ne l'ai jamais prit car c'est un anti-dépresseur et que j'y suis viscéralement et surtout mentalement allergique et que, aussi, des personnes dans mon cas, en prennent et n'ont pas pour autant d'amélioration des douleurs, mais surtout cela les met dans un état un peu léthargique.
Parfois, je culpablise même en me disant que je devrais tout de même le tenter au cas où cela pourrait effectivement soulager ces maudites douleurs. Mais le risque est grand aussi.
Et ne pas être bien pour se retrouver pire après est-ce bien la solution ?
Surtout que ces médicaments sont faciles à prendre, à les débuter, mais les arrêter cela devient carrément une cure de désintoxication.
J'ai mal physiquement oui mais moralement non. Je suis parfaitement bien. Et donc si l'Effexor me soulageait des douleurs mais me met dans un état de déprime important............... ??!!!!! Le jeu en vaut-il la chandelle ?
J'ai pas envie de prendre le risque.
Je fais peut-être une erreur.......tant pis mais cet article me conforte dans ma prudence.
De plus un autre article qui est ancien puisqu'il s'adresse à "Monsieur le Ministre de la Santé" donc Monsieur Xavier Bertrand, mais important dans le sujet actuel, car il fait bien la preuve que le gouvernement est au courant depuis déjà un moment et qu'aucune interdiction n'a encore été formulées.
Les antidépresseurs rendent-ils fous ?Depuis plus de 2 ans, les médecins me poussent à prendre de l'Effexor en traitement de la fibromyalgie.
Les nouveaux antidépresseurs destinés aux enfants et aux adultes ont des effets troublants sur le comportement et les émotions. Ils sont responsables de troubles anormaux: retrait social, violence, dépressions, automutilations, suicides et meurtres. Les drogues psy: un enfer pavé de bonnes intentions.
source : http://www.naturavox.fr/article.php3?id_article=2765
Je ne l'ai jamais prit car c'est un anti-dépresseur et que j'y suis viscéralement et surtout mentalement allergique et que, aussi, des personnes dans mon cas, en prennent et n'ont pas pour autant d'amélioration des douleurs, mais surtout cela les met dans un état un peu léthargique.
Parfois, je culpablise même en me disant que je devrais tout de même le tenter au cas où cela pourrait effectivement soulager ces maudites douleurs. Mais le risque est grand aussi.
Et ne pas être bien pour se retrouver pire après est-ce bien la solution ?
![[:anastasia83] [:anastasia83]](http://imagesforum.doctissimo.fr/images/perso/anastasia83.gif)
J'ai mal physiquement oui mais moralement non. Je suis parfaitement bien. Et donc si l'Effexor me soulageait des douleurs mais me met dans un état de déprime important............... ??!!!!! Le jeu en vaut-il la chandelle ?
J'ai pas envie de prendre le risque.
Je fais peut-être une erreur.......tant pis mais cet article me conforte dans ma prudence.
De plus un autre article qui est ancien puisqu'il s'adresse à "Monsieur le Ministre de la Santé" donc Monsieur Xavier Bertrand, mais important dans le sujet actuel, car il fait bien la preuve que le gouvernement est au courant depuis déjà un moment et qu'aucune interdiction n'a encore été formulées.
Monsieur Karoutchi interroge Monsieur le Ministre de la Santé et de la protection sociale sur l’absence de prévention en France face au danger des antidépresseurs...Monsieur Karoutchi interroge Monsieur le Ministre de la Santé et de la protection sociale sur l’absence de prévention en France face au danger des antidépresseurs. Lors de la conférence internationale de la pharmaco-épidémiologie à Bordeaux en août 2004, une étude a montré que sur 129 908 adolescents, 935 avaient absorbé des antidépresseurs. Or diverses études montrent que les molécules appartiennent à la classe des inhibiteurs sélectifs de la recapture de sérotonine (ISRS) ce qui entraîne une augmentation des comportements suicidaires chez l’adolescent. Ainsi après analyse de 24 essais cliniques menés sur 4 000 jeunes, la FDA américaine a démontré que les enfants et les adolescents dépressifs ont deux fois plus de risques d’avoir des comportements suicidaires quand ils prennent des ISRS que les placebos. Ces données qui suggèrent que les antidépresseurs sont inutiles, voir dangereux pour les enfants, ont conduit la Grande-Bretagne et le Canada à en interdire totalement l’usage pour les moins de 18ans, tandis que les Etats-Unis apposaient un avertissement sur les produits pour prévenir les dangers de ces traitements. En France, le débat sur l’innocuité des antidépresseurs n’est guère d’actualité. Aucun changement de recommandation à l’égard des jeunes n’est intervenu et l’agence française de sécurité sanitaire (AFSSAPS) se retranche derrière les recommandations de l’agence européenne pour l’évaluation des médicaments (EMEA) qui devrait clarifier les indications de l’usage des antidépresseurs chez les enfants. En l’espèce, Monsieur Karoutchi souhaiterait savoir si Monsieur le Ministre compte mettre en place une réelle politique de prévention de santé publique face aux dangers potentiels des traitements par antidépresseurs.source : http://www.rogerkaroutchi.com/article.php3?id_article=192